De Nevers au Mont Gerbier-de-Jonc
Nous poursuivons notre route le long du canal latéral avec parfois l’impression d’avoir perdu la Loire. Nous la retrouverons à Decize. Son cours se fait plus modeste en raison de la perte de son affluent principal, l’Allier, qui rejoint celle-ci juste en aval de Nevers.
Passé Roanne le paysage se fait plus marqué au dessus du lac de Villerest. A la hauteur de Saint-Etienne, à partir du barrage de Grangent, nous rentrons dans la partie la plus accidentée des gorges de la Loire. La route se fait sinueuse et étroite et les paysages sont vraiment magnifiques. A nouveau nous perdons de vue la Loire son cours se faisant de plus en plus discret dans le fond de vallée. Nous la retrouverons, au pied du mont Gerbier-de-Jonc, réduite à un mince filet d’eau fraîche.
Nous poursuivons notre route le long du canal latéral avec parfois l’impression d’avoir perdu la Loire. Nous la retrouverons à Decize. Son cours se fait plus modeste en raison de la perte de son affluent principal, l’Allier, qui rejoint celle-ci juste en aval de Nevers.
Passé Roanne le paysage se fait plus marqué au dessus du lac de Villerest. A la hauteur de Saint-Etienne, à partir du barrage de Grangent, nous rentrons dans la partie la plus accidentée des gorges de la Loire. La route se fait sinueuse et étroite et les paysages sont vraiment magnifiques. A nouveau nous perdons de vue la Loire son cours se faisant de plus en plus discret dans le fond de vallée. Nous la retrouverons, au pied du mont Gerbier-de-Jonc, réduite à un mince filet d’eau fraîche.